L’élément marquant du dernier trimestre 2016 aura été sans contredit l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche et, probablement encore plus, les majorités républicaines au Sénat et à la Chambre des représentants. Après une nuit chancelante, les actifs à risque réagissaient positivement dès le lendemain, encouragés par la position de force du nouveau président qui devrait lui permettre d’appliquer sans trop d’opposition son programme de stimulation budgétaire alliant réductions d’impôts à hausses des dépenses publiques.
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